Une vallée bucolique cachée dans la campagne vendéenne en bord de Sèvre Nantaise, où se niche un festival inauguré il y a trente ans. Un magnifique théâtre de verdure de 3 000 places avec un plateau en dur de 100 mètres carrés protégé par une immense toile tendue qui accueille des concerts tout le mois de juillet autour de plusieurs centaines de bénévoles… Le Festival du Poupet a gagné depuis longtemps ses galons dans le Grand Ouest.

Jeudi 13 juillet, la soirée qui réunit Trust, Matmatah, Cachemir et le CELTIC SOCIAL CLUB est complète depuis bien longtemps. Pour les balances, nous accueillerons Mustapha Laannabi arrivé la veille d'Algérie et Roy Harter juste débarqué d'une tournée en Irlande. Gangzi Tulegur montera directement sur scène, en atterrissant de Chine quelques heures avant, luttant contre le décalage horaire. À 19h30 en scène, tout proche du public massé dans les gradins au milieu des arbres, nous ferons un super concert, rapidement porté par les 3 000 spectateurs du Poupet venus majoritairement pour les têtes d'affiche de la soirée. Nos guests trouveront tranquillement leur place dans le show, dans un vrai voyage musical entre Europe, Asie, Afrique et Amérique. Quel accueil !

Bien loin alors d'un « warm up » la veille de notre rendez-vous avec les Vieilles Charrues, le Festival du Poupet nous a porté pendant une heure, faisant claquer la bannière du CELTIC SOCIAL CLUB en validant merveilleusement ses outsiders de la soirée. Merci.